Living on a catfish: nested occupation of ectosymbiotic chironomids on host body
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2018
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Resumo
Symbiotic species often have preferential attachment sites on their host body and thus some sites may only be occupied if the supposed best sites are already occupied. Alternatively, colonization may be similar in all sites, but removal may differ among them. Both mechanisms might generate a nested pattern. Moreover, the host size can alter the quality of the site for symbiotic occupation; for instance, by increasing the area and anchorage structures or reducing removal. We predicted that the spatial distribution of the ectosymbiotic chironomid Ichthyocladius lilianae Mendes, Andersen and Sæther, 2004 on their host, the armored catfish Pareiorhaphis hypselurus (Pereira and Reis, 2002), would present a nested pattern with regards to body-part preference and variation according to host size. We found that (i) suboptimal sites on the host body were usually only occupied by a symbiont when the optimal sites were already occupied and (ii) sites occupied by larvae on small host body surface were a subset of the sites occupied on large hosts. Our results indicate a nested distribution, yet the mechanisms generating this pattern are unclear. One possibility is that symbionts have preferential sites for attachment on the host body surface and compete for these sites. As an alternative, symbionts may present no preference and colonize equally all sites, but they remain attached to sites that offer better resources or protection from removal.
Les espèces vivant en symbiose ont souvent des sites de fixation privilégiés sur le corps de leur hôte, de sorte que certains sites peuvent n’être occupés que si les meilleurs sites présumés sont déjà occupés. Ou encore, la colonisation pourrait être semblable dans tous les sites, mais l’enlèvement pourrait varier entre eux. Ces deux mécanismes peuvent produire un motif emboîté. En outre, la taille de l’hôte peut se traduire par des variations de la qualité des sites pour l’occupation de symbiontes, en augmentant, par exemple, la superficie et les structures d’ancrage ou en réduisant l’enlèvement. Nous avons prédit que la répartition spatiale de symbiontes chironomidés Ichthyocladius lilianae Mendes, Andersen et Sæther, 2004, sur l’hôte qu’est le poisson-chat blindé (Pareiorhaphis hypselurus (Pereira et Reis, 2002)) présenterait un motif emboîté en ce qui concerne la préférence pour différentes parties du corps et ses variations selon la taille de l’hôte. Nous avons constaté que (i) les sites moins qu’optimaux sur le corps de l’hôte ne sont habituellement occupés par un symbionte que lorsque les sites optimaux sont déjà occupés et (ii) les sites occupés par les larves sur la surface du corps de petits hôtes sont un sous-ensemble des sites occupés sur les grands hôtes. Si nos résultats indiquent une répartition emboîtée, les mécanismes qui produisent cette répartition ne sont pas clairs. Une possibilité serait que les symbiontes ont des sites de fixation préférés sur la surface du corps de l’hôte et qu’ils sont en concurrence pour ces sites. Ou encore, les symbiontes pourraient ne pas avoir de préférence et coloniser de manière uniforme tous les sites, mais demeurer fixés aux sites qui offrent de meilleures ressources ou une meilleure protection contre l’enlèvement. [Traduit par la Rédaction]
Les espèces vivant en symbiose ont souvent des sites de fixation privilégiés sur le corps de leur hôte, de sorte que certains sites peuvent n’être occupés que si les meilleurs sites présumés sont déjà occupés. Ou encore, la colonisation pourrait être semblable dans tous les sites, mais l’enlèvement pourrait varier entre eux. Ces deux mécanismes peuvent produire un motif emboîté. En outre, la taille de l’hôte peut se traduire par des variations de la qualité des sites pour l’occupation de symbiontes, en augmentant, par exemple, la superficie et les structures d’ancrage ou en réduisant l’enlèvement. Nous avons prédit que la répartition spatiale de symbiontes chironomidés Ichthyocladius lilianae Mendes, Andersen et Sæther, 2004, sur l’hôte qu’est le poisson-chat blindé (Pareiorhaphis hypselurus (Pereira et Reis, 2002)) présenterait un motif emboîté en ce qui concerne la préférence pour différentes parties du corps et ses variations selon la taille de l’hôte. Nous avons constaté que (i) les sites moins qu’optimaux sur le corps de l’hôte ne sont habituellement occupés par un symbionte que lorsque les sites optimaux sont déjà occupés et (ii) les sites occupés par les larves sur la surface du corps de petits hôtes sont un sous-ensemble des sites occupés sur les grands hôtes. Si nos résultats indiquent une répartition emboîtée, les mécanismes qui produisent cette répartition ne sont pas clairs. Une possibilité serait que les symbiontes ont des sites de fixation préférés sur la surface du corps de l’hôte et qu’ils sont en concurrence pour ces sites. Ou encore, les symbiontes pourraient ne pas avoir de préférence et coloniser de manière uniforme tous les sites, mais demeurer fixés aux sites qui offrent de meilleures ressources ou une meilleure protection contre l’enlèvement. [Traduit par la Rédaction]
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DALA-CORTE, Renato B.; MELO, Adriano S. Living on a catfish: nested occupation of ectosymbiotic chironomids on host body. Canadian Journal of Zoology, Ottawa, v. 96, n. 7, p. 692-699, 2018. DOI: 10.1139/cjz-2017-0141. Disponível em: https://cdnsciencepub.com/doi/10.1139/cjz-2017-0141. Acesso em: 2 jun. 2023.